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ANNIVERSAIRE ! Interview d'Isabel Lavarecpar Joelle de la passion des mots



Jeudi, 30 Avril 2020

INTERVIEW AUTEURE

Isabel LAVAREC-MOLISA

JM : - Bonsoir à tous

-Notre amie Isabel LAVAREC MOLISA a accepté, récemment, de se soumettre à mes questions.

- Je partage avec vous notre entretien. A l'issue de cette publication, vous pourrez, si vous le souhaitez, poser vos questions à Isabel qui y répondra plus tard selon ses disponibilités.

JM : - Bonsoir Isabel

Comment vas-tu ? ? Es-tu prête à « subir mon petit interrogatoire » ?

Isabel : Je vais bien et OUI je suis prête à recevoir ton petit interrogatoire

JM : - Peux-tu, tout d'abord, te présenter afin que nos amis puissent mieux te connaître ?

Je me présente très succinctement puisque mon site https://www.mollisa.fr révèle beaucoup de choses à mon sujet.

Je m’appelle Isabel Lavarec, suis mariée et ai deux enfants et trois petits enfants (dont je suis très fière !)

Je suis une ancienne prof agrégée de SVT, j’ai beaucoup voyagé et ai enseigné en divers lieux et endroits.

j’écris depuis longtemps. J’ai commencé par des articles pédagogiques, didactiques dans ma spécialité, pour continuer par la création de manuels scolaires édités chez Nathan et Sed.

En retraite j’ai poursuivi mon désir de transmettre mon experience de vie au travers de romans policiers pour adultes et ados parus chez Oskar et Ex-Aequo.

J’ai aussi écrit des contes et des Nouvelles.

J’ai oublié de préciser qu’en 2019 j’ai été 3 fois laureate au concours international des arts et lettres de France en sections contes, Nouvelles et romans.

JM : - Peux-tu nous parler de tes ouvrages ?

Isabel : mon site https://ww.mollisa donne de nombreux détails avec même des commentaires au niveau du blog

Je laisserai de côté les ouvrages spécialisés sauf si vous voulez que j’en parle.

Mes romans policiers : “un cadaver à la consigne” édité chez Ex-Aequo

- Pour adultes : c’est une enquête policière sur fond historique, placée juste après l’hécatombe de la guerre qui a entraîné perte de repères et banalisation de la mort. Cette fiction inspirée d’un fait réel, fait prendre conscience de l’importance de l’être humain et de la nécessité de donner un sens à sa vie

On peut résumer l’histoire rapidement : Une disparition, un cadavre dans une malle. Dans un contexte patriarcal d’après-guerre, l’épouse d’un riche négociant, féministe engagée, est la coupable idéale. Mais est-ce aussi simple ? Une enquête qui n’en finit pas ,un procès mais qui juge-t-on le crime ou la féministe ?

- Pour ados : Série de polars avec un fil rouge, un amour impossible entre un gadge et un gitan;

* Carnet 1 : “Il est plus facile de désintégrer un atome qu’un préjugé” publié chez Oskar

Theme : la lutte contre les préjugés.

Un vol de bijou, un coupable idéal : Kiero, l’ami gitan des ados qui jouent au ballon sur les bords de la piscine de leur immeubles. Une enquête menée par Halinea et des conséquences inattendues.

* Carnet 2 : “ L’affaire Halinea” édité chez EX-Aequo

Thème la phobie scolaire

Une disparition, un cadavre, un défi relevé, une enquête, un procès et une belle réussite.

JM : - As-tu d'autres projets d'écriture et peux-tu nous en dire quelques mots ?

Isabel : Je viens de terminer un roman fantastique pour jeunes adultes + et adultes et, bien sûr, je suis à la recherche d’un éditeur.

Les carnets de Halinea 3 et 4 sont à la relecture.

JM : -As-tu des séances de dédicaces prévues prochainement  et où ?

Isabel : Normalement à Lens et à la comédie du livre de Montpellier

JM : - Es-tu sensible à la critique littéraire et penses-tu que les blogs, les réseaux sociaux aident les auteurs à promouvoir leurs écrits ?

Isabel : oui, j’ai pu remarquer qu’ils ont un rôle non négligeable et peuvent aider un auteur, ne serait-ce que dans les échanges possibles, de la pub, en partageant les pages, mais aussi en constatant que l’on n’est pas seul.e

Les éditeurs sont-ils à l’écoute ? Non, je ne l’ai pas constaté

JM : - Que penses-tu de l'édition numérique ? Avantages, inconvénients ?

Isabel : Le prix est vraiment très intéressant. Ce type de livre ne prend pas de place et on peut en emporter plusieurs dans un baggage.

Inconvénients : on n’a plus l’odeur de l’encre, on ne peut pas le feuilleter avec sérénité mais on peut s’en passer aussi.

JM : - Ecrire est-ce pour toi une passion ou un métier ?

Isabel : Oui de plus en plus

JM : - Quand écris-tu (le jour, la nuit) et pendant combien d'heures ?

Isabel : Tous les jours. Le matin de 6H à 9 h et l’aprem

JM : - Si ma mémoire est bonne, tu as écrit des manuels scolaires, un roman policier pour ado et dernièrement un policier historique. Pourquoi ces choix ?

Isabel :

Manuels scolaires: j’étais prof. en école normale et IUFM donc c’était presque mon boulot ( J’avais été contactée par Nathan et Sed, je me trouvais à la bonne place au bon moment. Une chance !)

Pour les polars :

* Pour ados : J’avais constaté que les élèves et souvent des étudiants ne construisaient pas des ponts entre “l’école” et le réél.

Je voulais donc agir en ce sens et je pouvais le faire en créant des polars (enquêtes , recherches de preuves, émettre des hypotheses, bref mettre en place des investigations)

Cela me permettait aussi de deployer des thèmes en les mettant en action.

* Pour adultes : roman policier historique. Les périodes, belle époque et années folles, m’attirent depuis longtemps, je voulais donc trouver un crime se déroulant dans ces époques. L’affaire Bessarabo m’a emballée. J’ai donc revu cette affaire avec un oeil féministe.

JM : - As-tu déjà connu le syndrome de la page blanche ?

Isabel : Oui !!! Surtout lors que je suis au milieu

JM : - Dans ta prime enfance avais-tu déjà envie de devenir écrivain ?

Isabel : Non, je voulais être maîtresse. J’enseignais beaucoup de choses aux abeilles qui butinaient les fleurs du jardin.

JM : Comment as-tu procédé pour faire éditer tes livres ?

Isabel : J’ai fait comme tous ceux qui débutent et qui n’ont pas de pistons. J’ai cherché les lignes éditoriales, les éditeurs qui reçoivent les manuscrits par email et j’ai envoyé un manuscrit papier à un ou deux éditeurs autres que les mastodontes.

JM : - Quels sont les auteurs qui t'ont donné l'envie d'écrire ?

Isabel : Les classiques, mais pas que, les policiers comme Vargas, Simenon, Clark, Mayeras et … Les contes traditionnels ( chez Corti)

JM : - Lis-tu ? Si oui quel genre ?

Isabel : Policiers, scientifiques (documentaires) romans, contes, poèsies, BD c’est très hétéroclite

JM : - En dehors de l'écriture as-tu d'autres passions ?

Isabel : le théâtre, je fais partie d’une troupe

JM : - J'ai entendu dire que tu a fait partie d'une troupe de comédiens amateurs à Nice et à Montpellier – Peux-tu nous parler de cette expérience ?

Isabel : C’est super ! On apprend des textes, on crée des personnages en tenant compte des autres et de la comprehension du texte du metteur en scène. Les textes ont été très varies depuis le ptemps. Cette année nous travaillons des textes de Christian Dob. Ce sont des caricatures très amusantes. On rit très souvent. C’est bien agréable.

JM : - Quel est ton genre de musique et écris-tu en musique ?

Isabel : Je ne fais qu’écouter : du Classique, Mozart, Bach, Haendel, Massenat… Mais aussi du moderne comme Aubry, jazz, brel, ferrat, etc c’est trés hétéroclite

JM : - Es-tu thé, café ? Vanille ou chocolat ? Dessert ou fruit ?

Isabel : Les 2 thé et café

Ni l’un ni l’autre

fruit

JM : - Quel mot te définit le mieux ?

Isabel : “cheveux blancs” ou bien “caractère fort”

JM : - Souhaites-tu ajouter quelque chose  ?

Isabel : non

JM : - Merci Isabel LAVAREC MOLISA pour cet agréable moment passé en ta compagnie.

Les amis, vous avez la parole : vous pouvez si vous le souhaitez poser d'autres questions à Isabel qui y répondra sous ce post.

instagram @isabellavarec

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